Julien Leblay...
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Retour au mois de mai

Week-end dans le Northland - 7 au 10 mai 2005

Je vous ai quitté sur un match de Rugby (à ce propos, j'ai rajouté plein de photos du match dans la page d'avant, à voir absolument !!), je vous rejoins après un magnifique week-end passé dans le Northland (la partie située au Nord d'Auckland). Nous sommes partis samedi très tôt le matin, avec PB, Sarianne et Tina. Nous voulions découvrir cette région en quatre jours. Avec plus de 1000 kilomètres à effectuer, le week-end s'annonçait donc très chargé !

Tout a commencé par une petite incompréhension. Nous pensions que les filles venaient nous chercher au centre commercial, situé à 1 kilomètre de notre maison. Pas de problème pour nous, on se lève donc à 4 heures 30 (après seulement deux heures de sommeil) pour y être à 5heures 30, avec tous nos bagages et nos couvertures. PB semblait être un peu fatigué... En fait, les filles nous attendaient à notre maison... Ne nous voyant pas, elles sont venues nous chercher au centre commercial. Cela nous a permis de faire une petite marche matinale pour bien nous réveiller !

P-B in the morning

Nous sommes partis sur la côte ouest, en direction de la forêt de Kauris. L'humidité matinale nous permet de faire plus ample connaissance avec la voiture de Tina, une mazda. Tina est en Nouvelle-Zélande pour un an, et a donc du acheter une voiture pour pouvoir visiter l'ensemble de ce pays. Elle n'apporte pas forcément beaucoup d'importance à la voiture. Tant que ça roule... La buée envahit vite les fenêtres et le pare brise. Un voyant rouge sur le tableau de bord... C'est normal, c'est un problème électronique. Ah... ! Elle boit beaucoup... Environ un demi litre d'eau pour cent kilomètres... Quelques petits détails qui me font penser que voyager à vélo, c'est quand même nettement moins stressant. Les énormes camions que nous croisons régulièrement me font vite penser le contraire ! Les routes néo zélandaises sont encombrées par ces énormes engins routiers, tractant deux remorques et roulant à très vive allure. Le train est une catastrophe dans ce pays, alors le ferroutage n'existe pas (ou très peu). Tout est transporté via la route. Et comme les distances sont longues, on rentabilise les trajets en prenant des énormes camions pouvant tirer deux énormes remorques... Une petite grève des routiers du 1er septembre au 12 octobre serait très appréciable !
Nous avons profité du paysage offert par la Nouvelle-Zélande. Vous apprécierez cette campagne qui me fait penser par moment au Cézallier, avec ces belles formes volcaniques dénudées par le vent et entretenues par ovins et bovins. Vous apprécierez également l'équipe de choc pour ce week-end. Enfin, vous remarquerez le look particulier de ces arbres, coiffés par le vent violent... De quoi faire rêver bien des cyclistes !

equipe paysage1 paysage2 vent nous northland paysage Northland

Notre premier arrêt nous a permis de vagabonder dans le Kauri Museum, à Matakohe. Le Kauri est un arbre noble, qui fait partie des plus grands de ce monde. En effet, après un séquoia, le deuxième plus gros arbre du monde est un Kauri, et se trouve en Nouvelle-Zélande, sur notre chemin d'aujourd'hui. Il s'agit d'un conifère, qui a la particularité, une fois adulte, de ne pas avoir de branches sur plusieurs mètres à partir du sol. Cela donne des arbres avec un tronc très droit et sans branche. Pour exemple, le Tane Mahuta (« Seigneur de la forêt » en maorie) a un diamètre de 4,4 mètres et la première branche se situe à 17,7 mètres. Cela donne un bois d'une très grande qualité. En effet, les planches que l'on peut en tirer sont on ne peut plus imposantes, et ne présentent aucun noeud. Il a donc été largement utilisé pour tout type de construction (bateaux, traverses de chemins de fer, meubles, maisons (une maison à Auckland a été construite avec un seul arbre, et elle est plutôt grande... !)). La gomme de Kauri est également très recherchée. Il s'agit de la résine sécrétée par l'arbre lorsqu'une branche est cassée. Cette gomme était utilisée à de nombreuses fins : chewing-gum (avant Hollywood), pigments pour tatouages, torches, vernis, cires à cacheter, bougies... Le musée possède la plus grande collection du monde de gomme (dernière photo). Certaines pièces sont d'une grande beauté. Nous sommes restés une bonne heure dans ce musée, le temps pour nous de nous détendre, et pour la voiture de se reposer.

musée1 musée2 musée3 musée4 musée5 musée6 musée7 musée8 equipe musée9 musée10 gomme

Après cette mise en bouche, il nous fallait donc aller voir ces grands arbres sur pied. Nous avons fait un premier arrêt dans le « Trounson Maorie Park ». Déjà, quelques Kauris nous impressionnent. Chose assez spectaculaire également : ce sont ces grandes fougères, qui peuvent largement atteindre les 5 mètres de haut... un abri idéal pour se protéger du soleil néo zélandais. Ces fougères se retrouvent partout en Nouvelle-Zélande, sur le bord des routes et des chemins. On s'habitue très vite à leur présence.

un kauri Kauri arbre fougère géante Fougère julien Kauri julien

Nous avons continué notre route à la rencontre du plus grand Kauri, le deuxième plus grand arbre du monde. Après une agréable balade au milieu des fougères et des Kauris déjà imposants, nous arrivons au pied du Tane Mahuta... respect ! Impressionnant, rien à voir avec les précédents, déjà bien grands. Avec un diamètre de 4,4 mètres et un tronc de près de 18 mètres de haut, cet arbre a déjà vu défiler 2000 ans à ses pieds... Avant d'être abattus à grande échelle par les Maoris, certains étaient bien plus imposants et ont été estimés avoir plus de 3000 ans... Mais l'homme ne sait jamais être raisonnable, et a détruit en quelques décennies le travail de centaines voir de milliers d'années.

casse croûte marche dans forêt forêt un Kauri kauris musée musée Te Matua Ngahere le géant de la forêt te matua ngahere

Nous avons ensuite continué notre chemin en empruntant la route très sinueuse pour rejoindre Omapere. Une petite halte sur le bord de route pour faire connaissance avec des habitants des lieux. La montagne, ça vous gagne ! Puis nous sommes arrivés à Omapere, qui se situe sur la côte ouest. Sublime panorama, pour un magnifique crépuscule sur Hokianga Harbour. C'est ici que nous avons planté nos deux tentes... Nous sommes au mois de mai (l'équivalent du mois de novembre en France), et il fait tout de même relativement bon ; suffisamment pour dormir sous tente. L'hiver est peu marqué dans le nord de la Nouvelle-Zélande, et plus on monte, meilleur il fait. Sur la dernière photo, je vous présente notre voisine de tente. C'est une tondeuse à gazon très efficace. Ici, la pelouse était parfaite !

paysage northland paysage similaire au Cézallier cochons dans Cézallier cochons du Northland paysage paysage apéro apéro Omapere mère panorama coucher de soleil Tasman paysage baie omapre paysage paysage camping Camping chèvre

Avant de dormir, nous sommes allés boire un petit verre dans le bar du coin. Les autochtones sont ravis de voir des jeunes ici, et viennent s'assoire à notre table. A la télé, un match de rugby du super 12 : ce sont vraiment de bons joueurs ! Après quelques verres de vin ou de bière, nous rejoignons nos deux tentes. La nuit nous offre un magnifique tableau. Le ciel est somptueux. Aucun nuage ne vient cacher la voie lactée et les nombreuses étoiles. Une étoile filante... vite, faire un voeu. Nous pensons alors très fort à la voiture de Tina : pourvu qu'elle nous ramène à bon port !

apéro apéro apéro apéro apéro apéro apéro

La nuit a été plutôt... fraîche. Après un bon p'tit dèj, direction Kohuohu. Nous devons emprunter le ferry. Nous déjeunons ensuite à Ahipara Bay, petit coin de paradis où les surfeurs s'en donnent à coeur joie. Nous resterons ici le temps de nous restaurer et de nous reposer, puis sommes allés planter notre tente à Kaitaia, la dernière « ville » du Nord, avec 6000 habitants. Ici, vous pouvez visiter une fabrique très intéressante. Le Kauri existe en Nouvelle-Zélande depuis des millénaires. Le sol renferme des trésors : des troncs de Kauris magnifiquement bien conservés, âgés de 50 000 ans parfois... Ce bois est utilisé, façonné pour faire des tables, dessous de plats, ou autres objets de décoration. Evidemment, ils se monnaient à prix d'or. A visiter absolument. C'est gratuit, mais vous êtes invités à acheter une petite bricole... P-B en a profité pour jouer de son charme auprès de sexagénaires très séduisantes. Jolie chapeau. Vraiment, quelle classe P-B ! Après cette visite, nous sommes retournés à Ahipara Bay (à 15 kilomètres) pour apprécier le coucher de soleil. C'est à cet endroit précis que mon appareil photo numérique s'est éteint... Après une dernière tentative d'utilisation, il me quitte, me laissant seul avec mon appareil Reflex. L'informatique m'aime !

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Pour me consoler, nous sommes allés boire un canon dans le seul bar d'ouvert, puis avons fait une petite séance de trampoline avant d'aller nous coucher. Quelques photos de fin de journée... !

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Le lendemain a été consacré à une excursion jusqu'au Cape Reinga. Nous laissons la voiture à Kaitaia pour prendre un bus. Un petit voyage organisé comprenant la visite de la baie de Kapowairua, le Cap Reinga (extrémité nord de la Nouvelle-Zélande) et la « Ninety miles Beach » (plage qui fait en fait 90 kilomètres de long). Nous grimpons dans le bus à 9 heures. Le premier arrêt se fait dans la boutique-fabrique dont je vous ait parlé juste avant. Avant de nous arrêter, le chauffeur insiste bien sur le fait que c'est la dernière boutique avant 200 kilomètres. C'est donc la dernière occasion d'ACHETER quelque chose. Il nous explique qu'il y a une boîte aux lettres située au Cap Reinga. Si nous ACHETONS une carte ici, avec un timbre, alors nous pouvons la poster au Cap Reinga et elle aura l'originalité d'avoir le tampon du Cap Reinga. Nous restons 20 minutes dans cette boutique, où les cartes postales du Cap Reinga partent comme des petits pains...

Nous reprenons la route en direction du Cap Reinga, donc. Sur le parcours, nous voyons plusieurs prairies où quelques troncs ou souches de vieux Kauris gisent sur le sol. Le chauffeur nous explique toute l'histoire de ces vieux Kauris, terrassés par un vent violent, il y a quelques 50 000 ans. La route numéro 1 (qui relie le Cap Reinga à Bluff, à l'extrémité sud de l'île du sud) nous fait découvrir des paysages somptueux. Là encore, certains endroits me font penser au Cézallier... Les brebis sont très présentes dans ce coin de paradis. Les derniers 20 kilomètres ne sont pas goudronnés. Pourquoi, alors que cette route est très empruntée ? Peut-être pour éviter qu'il y ait trop de circulation... Ou peut-être pour obliger les touristes à payer le bus pour venir jusqu'ici... Un peu des deux sûrement. Nous déjeunons à la Baie de Kapowairua. Très jolie, et très touristique ! Nous sommes au fin fond de la campagne néo-zélandaise, au milieu de nul part. Tous les opérateurs touristiques qui proposent une excursion au Cap Reinga s'arrêtent ici pour le déjeuner. On a trouvé mieux question tranquillité (dans le Cézallier par exemple ;-)). Les mouettes sont de la fête. Il est plus facile de se nourrir de touristes (ou du moins des miettes) que de poisson. Les oiseaux se portent bien dans la région.

car bay of Kapowairua kapowairua baie du Northland baie près de Cap Reinga

Nous reprenons la route pour le fameux... Cape Reinga (vous l'aurez compris). La pluie semble vouloir nous accueillir. Mais en Nouvelle-Zélande, il ne faut jamais s'inquiéter lorsqu'il pleut : le soleil n'est pas loin. En revanche il est bon de se faire du soucis lorsqu'il fait beau : cela veut dire qu'il va bientôt pleuvoir ! Finalement le soleil est au rendez-vous pour notre arrêt au bout de la Nouvelle-Zélande. Le phare de ce cap est présent dans toutes les brochures de la Nouvelle-Zélande. Il s'agit du dernier bout de terre de ce pays, et il est présenté comme un lieu unique, magique... C'est vrai que ce lieu est très joli, emprunt d'une certaine émotion. Nous avons la sensation d'être au bout du monde... Mais on a de la compagnie, avec les quelques 4 ou 5 cars de touristes ! Du coup l'émotion est diminuée par cette surpopulation localisée sur quelques mètres carrés... Je me demande alors comment les photographes ont pu prendre ce phare sans n'avoir personne sur la photo... Nous restons 40 minutes chrono sur ce petit bout de terre. Nous regardons devant nous la mer de Tasman se fondre avec l'océan pacifique. Quelques îles au loin nous font penser qu'il existe peut-être quelques morceaux de terre au-delà...

cap reinga Reinga ringa cape ringa rega océan pacifique mer de Tasman Cape, tasman

Nous remontons dans le bus pour gagner la Ninety miles beach. Enorme plage de sable qui s'étend sur 90 kilomètres de long. Juste avant d'y aller, nous faisons un petit arrêt pour se dégourdir les jambes dans une dune de sable. Le chauffeur sort des luges, pour que nous descendions cette piste de sable. Assez marrant. Par contre, ce n'est pas très sympa pour ceux qui arrivent derrière... Désolé. Lorsque nous partons, un autre car de touristes prend notre place. Les circuits semblent se ressembler. Devant nous, un autre car a déjà rejoint la plage.

DUNE DE SABLE dune de sable luge sur dune de sable luge sur sable après...

Le chauffeur aime pousser la chansonnette. Tout au long du parcours, il nous chante quelques petits refrains Maoris. Très joli et plaisant. Il roule à vive allure sur cette plage magnifiquement plate et propre. Sur notre droite, la mer est très violente. Elle se retire peu à peu, permettant aux cars et voitures de passer. De toute évidence, cette plage est bien plus praticable que la route ! Le compteur atteint facilement les 100 km/h, ne ralentissant que lorsque des bras de rivières coupent le sable. Un peu plus loin, un dauphin est échoué sur la plage et gravement blessé. Les dauphins représentent une énorme force touristique pour la région. Dans la « Bay of Islands » par exemple (où nous sommes allés le dernier jour), de très nombreux opérateurs touristiques vous proposent des balades en bateau pour voir les dauphins, ou pour nager avec eux. Du coup, les accidents doivent être nombreux. Il ne doit pas être rare qu'un bateau heurte un dauphin... Peut-être que celui croisé sur la plage a été victime de ce tourisme intensif et offensif.

ninety miles beach 90 miles beach Ninety miles beach

Nous sommes ensuite partis en direction de Pahia, dans la Bay of Islands, situé sur la côte est de la Nouvelle-Zélande. Nous sommes arrivés dans la nuit, et avons donc opté pour un Backpacker pour dormir. Pour 10 euros, on a un lit, une douche, une cuisine et le petit dèj. Ca fera très bien l'affaire pour cette nuit, d'autant plus que l'air est frais dehors.

La Bay of Islands est un endroit très touristique. Comme son nom l'indique, cette baie compte de nombreuses petites îles. Le mieux est de la traverser en bateau. Pour cela, de très nombreux opérateurs sont présents pour vous servir. Les dauphins sont très présents dans cette baie, ce qui attire considérablement les touristes. Sarianne et Tina ont opté pour une croisière de 3 heures pour pouvoir mieux découvrir cette baie. P-B et moi optons pour une marche de 3 heures, pour voir la cascade de Haruru. Pour y aller, nous longeons la route principale. Pas super agréable. La cascade est sympa. Nous faisons une petite pause pour nous laisser bercer par le bruit sourd de cette construction naturelle. J'adore ! Pour rejoindre Paihia, nous empruntons cette fois-ci un petit sentier qui longe la rivière et traverse le bush. Il s'agit d'un habitat pour le kiwi (le célèbre oiseau, symbole du pays). Mais nous n'en verrons pas, car il s'agit d'un animal nocturne. Le kiwi ne peut pas voler, et doit donc se cacher des prédateurs diurnes. Sur le chemin, nous traversons une Mangrove (forêt de palétuviers). Ce sont des petits arbres endémiques qui vivent dans l'eau stagnante. Impossible de traverser ce genre de forêt à pied, évidemment. Mais ici un ponton permet de découvrir cet écosystème très particulier et très riche. Finalement nous arrivons à Paihia et retrouvons nos deux collègues. Elles sont ravies de leur balade. La virée en bateau était sympa, et les dauphins étaient au rendez-vous.

Paihia Bay of Islands Haruru Falls cascade d'Haruru cascade palétuviers palétuviers

Le W-E s'est ainsi terminé. Il nous faut maintenant repartir en direction d'Auckland. Ce Week-end était fabuleux. Le Northland est pour le moment la partie de la Nouvelle-Zélande que j'ai le plus apprécié. Il n'y a personne (tout dépend des endroits), les paysages sont fabuleux, et il n'y fait jamais bien froid. Le Cap Reinga est un endroit sympa. Bien sûr, j'ai été assez critique sur le tourisme dans cette partie de paradis. Mais c'est parce qu'on aimerait bien être seul lorsque l'on longe la Ninety miles beach ou qu'on découvre le Cap Reinga. Cela est évidemment impossible, quelque soit la mise en tourisme effectuée. Donc ce fut un fabuleux week-end, dans une région à découvrir absolument. Il est très fortement conseillé de prendre le bus pour se rendre au Cap Reinga, et une petite virée en bateau à la découverte des dauphins peut-être sympa aussi.

Voilà pour ce week-end. Je suis maintenant de nouveau devant mon ordinateur. Je continue ma mission de stage. Les prochains jours s'annoncent plus cool. Nous avons un nouveau stagiaire an notre compagnie. Pierre nous vient de Nantes et vient passer 2 mois en notre compagnie. Nous voilà donc à trois dans notre maison

Pierre Pierre

Dernière petite nouvelle. Nous venons d'acheter nos places pour le prochain match de rugby Nouvelle-Zélande-Fidji... C'est pour le 10 juin. Je vous tiens au courant, évidemment !

A très bientôt, et profitez bien du soleil en France !

Julien

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